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Portage salarial au Japon

Développez vos activités au Japon, sans société

Horizons propose des solutions complètes en matière d’emploi pour les entreprises qui souhaitent recruter des employés et assurer la distribution de salaires au Japon. Grâce à notre société de portage salarial au Japon et à notre statut d’employeur de référence, nous gérons la paie, les prestations sociales et les dépenses de votre entreprise dans ce pays. De plus, nous supervisons les fonctions des ressources humaines, ainsi que la conformité avec la législation fiscale et celle du travail. 

Horizons agira comme employeur de référence pour vos employés, cela signifie que vous pouvez commencer à faire des affaires au Japon sans avoir recours à une société locale. Non seulement votre entreprise peut se lancer plus rapidement sur le marché, mais elle économisera aussi des milliers de dollars en coûts d’expansion.

Seule société de portage salarial au Japon à disposer d’une équipe de recrutement interne, Horizons se chargera de recruter et d’intégrer votre personnel dans ce pays. Nous recrutons les employés conformément à la réglementation du travail au Japon et nous coordonnons toutes les demandes de remboursement des dépenses et le paiement des prestations sociales. Bien que nous agissions en tant qu’employeur de référence de vos employés, vous conservez une autonomie et un contrôle total sur tous les employés.

Notre société de portage salarial au Japon simplifie votre expansion

Horizons permet à votre entreprise de développer ses activités au Japon, sans créer de filiale. 

Accès rapide au marché
Horizons vous permettra de recruter et d’intégrer des professionnels au Japon en 48 heures seulement.
Réduction des coûts

Sans avoir besoin d’établir une entité légale au Japon, un partenariat avec notre solution de portage salarial peut vous aider à économiser jusqu’à 85% des coûts. 

Services de paie
Simplification du traitement des salaires et de la paie, y compris pour la contribution au CFP, les impôts, et toute autre contribution exigée par la loi.
Intégration des employés
Utilisez la disposition applicable pour tous les types de contrats de travail au Japon, qu’il s’agisse de contrats à durée déterminée ou indéterminée.
Equipe juridique et RH

Un soutien complet pour les renouvellements de contrats, la procédure légale de licenciement, la gestion des congés annuels, le soutien en matière de ressources humaines ainsi que des conseils stratégiques supplémentaires. 

Conformité à la législation

Nous veillons à ce que les contrats de travail soient conformes et respectent la législation du travail et les pratiques exemplaires d’usage au Japon. 

Embaucher et rémunérer des talents avec Horizons in
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Droit du travail au Japon

Types de contrats de travail au Japon

Bien que la législation japonaise ne spécifie pas de format exact pour les contrats de travail, les employeurs doivent rédiger des contrats écrits pour tous les accords de travail. Les contrats doivent fournir aux employés les conditions correspondant à leur fonction. Les employeurs peuvent remplir ces conditions en remettant aux employés un contrat de travail écrit et/ou une copie du “règlement de travail” de l’entreprise (shuugyou kisoku). 

Tous les employés engagés dans le cadre du programme de portage salarial de Horizons Japon sont munis d’un contrat de travail conforme aux normes locales.

Au Japon, la norme veut que les employeurs rédigent un contrat de travail écrit qui énonce clairement les conditions d’emploi. Ces conditions doivent comprendre la rémunération, les avantages sociaux, les responsabilités et les règles de licenciement de l’employé. Toute offre ou contrat de travail doit indiquer la rémunération et les avantages en yens japonais, plutôt qu’en devises étrangères.

Heures de travail au Japon

Au Japon, la semaine de travail normale s’étend du lundi au vendredi. Chaque journée de travail dure généralement huit heures, pour une limite hebdomadaire totale de 40 heures. Pour un employé à temps plein, il s’agit des heures normales, sauf accord contraire avec un syndicat ou un représentant local des employés. Les accords de travail doivent clairement définir le nombre maximum d’heures supplémentaires applicables. 

Les taux minimaux des heures supplémentaires sont les suivants :

  • Le taux standard des heures supplémentaires est de 125 % du salaire horaire
  • Pour le travail effectué un jour de repos désigné, le taux des heures supplémentaires est de 135 % du salaire horaire
  • Pour les heures supplémentaires effectuées tard dans la nuit, entre 22 heures et 5 heures du matin, le taux des heures supplémentaires est de 150 % du salaire horaire
  • Pour les heures supplémentaires effectuées tard dans la nuit un jour de repos, le taux des heures supplémentaires est de 160 % du salaire horaire
  • Pour tout travail supplémentaire qui dépasse 60 heures par mois, le taux des heures supplémentaires est de 150 % du salaire horaire
  • Pour les heures supplémentaires effectuées tard dans la nuit et dépassant 60 heures par mois, le taux des heures supplémentaires est de 175 % du salaire horaire

Les petites et moyennes entreprises sont exemptées des deux derniers taux d’heures supplémentaires ci-dessus. Par ailleurs, les employés qui occupent des postes de direction ou de supervision sont généralement exemptés de ces taux d’heures supplémentaires. 

Vacances au Japon

Les petites et moyennes entreprises sont exemptées des deux derniers taux d’heures supplémentaires ci-dessus. Par ailleurs, les employés qui occupent des postes de direction ou de supervision sont généralement exemptés de ces taux d’heures supplémentaires. 

Hormis le jour de l’An, si un jour férié survient un dimanche, le lundi suivant est reconnu comme jour férié. Bien que la loi n’oblige pas les salariés des entreprises étrangères à bénéficier d’un congé les jours fériés, la plupart des employeurs le feront. 

Impôt sur le revenu

Au Japon, les revenus du travail sont soumis à l’impôt fédéral sur le revenu ainsi qu’à la “taxe locale des habitants”. Le taux d’imposition national est généralement appliqué à des taux relativement progressifs en fonction du montant du revenu. L’impôt des habitants est appliqué à un taux forfaitaire fixé localement. 

Assurance maladie

Au Japon, il existe le système national de santé universel. Dans le cadre de ce système, les employés bénéficient généralement de quatre types d’assurance standard : 

  • L’assurance maladie
  • L’assurance retraite protection sociale
  • Indemnisation des travailleurs
  • Assurance-chômage

L’assurance maladie et l’assurance protection sociale sont toutes deux classées dans la catégorie des assurances sociales. À ce titre, les administrateurs ont également droit à ces prestations. Les primes d’assurance sont payées conjointement par les employeurs et les employés. 

Congés payés

Les salariés qui travaillent dans une entreprise depuis plus de six mois ont droit à un minimum de dix jours de congé annuel payé. Ce congé est augmenté d’un jour par an, pour les deux années de service suivantes. Pour chaque année suivante, le congé annuel augmente de deux jours, jusqu’à un maximum de 20 jours par an. Les congés annuels non utilisés expirent après deux ans. 

Congés maladie

Au Japon, les employeurs ne sont généralement pas tenus d’offrir un congé payé aux employés qui s’absentent du travail pour cause de maladie ou d’accident. Toutefois, il existe des exceptions à cette règle si le contrat de travail stipule explicitement le contraire. 

Congé maternité et de garde d'enfants

Au Japon, les salariées ont droit à un congé maternité dans les six semaines qui suivent la date prévue de l’accouchement et dans les huit semaines qui suivent la naissance. Les salariées ne sont pas autorisées à reprendre le travail dans les huit semaines suivant l’accouchement, sauf si elles remplissent les critères suivants : 

  • La salariée souhaite reprendre son travail après six semaines, au lieu de huit semaines, après l’accouchement.
  • La reprise du travail ne doit pas entraîner de problèmes médicaux, comme l’a certifié un médecin.

À moins qu’un contrat de travail n’en dispose autrement, l’employeur n’est pas tenu de payer le congé maternité à ses employés.

Au Japon, les employées ont droit à un congé pour soins familiaux, jusqu’à 93 jours par membre de la famille. Sauf disposition contraire du contrat ou du règlement de travail, le congé pour soins familiaux n’est pas rémunéré.

Les employés peuvent également bénéficier d’un congé de garde d’enfants, pendant la période où le congé de maternité se termine et la veille du premier anniversaire de l’enfant. Dans certaines circonstances, cette période peut être prolongée jusqu’au jour où l’enfant atteint l’âge d’un an et demi. 

Prestations de congé de garde d’enfants :

  •  420 000 yens de prestations forfaitaires pour l’accouchement

  •  Exonération de la prime d’assurance sociale

  •  Allocation maternité : Environ 2 à 3 mois de salaire pendant le congé maternité

  •  Allocation de congé parental : environ 2 à 3 mois de salaire pendant le congé parental

Licenciement et indemnités de licenciement

Les lois sur le licenciement au Japon offrent un degré important de protection juridique aux employés. Il est extrêmement difficile pour les employeurs de licencier un employé travaillant au Japon. Il existe donc des restrictions concernant ce qui est considéré comme un “licenciement justifié”. Les licenciements peuvent même être considérés comme un abus des droits d’un employé en vertu des lois locales du pays. 

Au cours des dernières décennies, les employeurs ont eu du mal à prouver qu’il existait un motif légal valable de licenciement. Les exceptions à cette règle comprennent : les employés qui commettent des crimes ou des violations comme un vol, de la violence, une insubordination excessive, une malhonnêteté concernant leurs qualifications professionnelles, ou une mauvaise performance à long terme dans leur rôle.

La tradition dans la culture d’entreprise japonaise est de placer les employés peu performants sur une période d’essai de 3 à 6 mois. Si l’employé continue à être moins performant ou à ne pas répondre aux attentes de l’entreprise, il peut alors être licencié, sans que cela soit jugé inacceptable au regard de la législation japonaise.

Les employeurs sont légalement tenus de donner à leurs employés un préavis de licenciement d’au moins 30 jours. Cette disposition est généralement incluse dans les “règles de travail” qui sont fournies à l’employé au moment de son recrutement.

COMPENSATION ET AVANTAGES EN TOUTE TRANQUILLITÉ AU JAPON

Indemnités et avantages sociaux au Japon

Lois sur la rémunération au Japon

Les lois japonaises en matière de rémunération varient selon les villes et les régions. À titre d’exemple, le salaire minimum de Tokyo est le plus élevé du pays : 958 yens. 

Au Japon, les employés sont payés mensuellement, et non pas chaque semaine ou chaque quinzaine. Les salaires sont généralement bas au départ, mais les travailleurs sont récompensés pour leur ancienneté. Les promotions sont généralement basées sur la combinaison de l’expérience et des compétences.

Contrairement à de nombreux pays asiatiques, le Japon n’a pas de système de 13ème mois de salaire obligatoire. Toutefois, les employés du secteur de la vente ont la possibilité de toucher des commissions comparables à celles des États-Unis.

Prestations sociales garanties au Japon

Comme les salaires au Japon peuvent être assez bas au départ, les employeurs comptent souvent sur des avantages supplémentaires pour attirer des employés potentiels. Les prestations garanties au Japon comprennent un congé annuel payé de 10 jours, après six mois de service dans l’entreprise. Les employés bénéficient d’une augmentation d’un jour de congé par an, pendant les deux années suivantes. Cette augmentation se poursuit chaque année, jusqu’à ce qu’ils atteignent le maximum de 20 jours de congé annuel payé. 

Les employés ont accès à une excellente couverture santé dans le cadre du système de sécurité sociale japonais. Par conséquent, de nombreux employeurs n’offrent pas de prestations de santé complémentaires.

La législation du travail au Japon exige des employeurs qu’ils proposent des examens médicaux annuels à tous leurs employés. Cette obligation peut être étendue aux “examens de stress”, si ceux-ci sont liés à la nature du travail. Il est conseillé aux employeurs de prévoir un budget de 10 à 15 %, en plus du salaire de l’employé, à affecter aux prestations sociales.

Gestion des prestations au Japon

Pour les employeurs qui gèrent eux-mêmes les prestations, il est important qu’ils soient conscients à la fois des prestations garanties par le Japon et de ce qui est considéré comme la “norme”. Les employeurs devraient commencer par se renseigner sur ce que les autres entreprises offrent à leurs employés. Sur la base de ces recherches, les employeurs peuvent ensuite décider de ce qui fonctionne le mieux pour leur entreprise. Toutefois, il faut reconnaître que ce processus implique souvent beaucoup de temps et de déplacements au Japon. 

Les employeurs peuvent également choisir de travailler avec une entreprise d’externalisation des prestations. En s’associant à une entreprise qui a de l’expérience dans la gestion des prestations sociales au Japon, cela peut rendre le processus beaucoup plus simple. Une société de portage salarial international comme Horizons garantira que les employés bénéficient des prestations auxquelles ils ont droit et que votre entreprise respecte les règles en matière d’emploi.

Restrictions en matière de prestations et de rémunération

Comme les lois japonaises sur la rémunération varient d’une ville à l’autre, il est essentiel que les employeurs se tiennent au courant des réglementations en vigueur dans leur région. Par ailleurs, les employeurs doivent se conformer à la législation fiscale japonaise, afin de ne pas être confrontés à des amendes et des pénalités.

Il existe également des restrictions strictes en matière de congé maternité au Japon. Les employées ont droit à un congé maternité dans les six semaines qui suivent la date prévue de leur accouchement, puis dans les huit semaines qui suivent la naissance. Il est interdit à une femme de reprendre le travail dans les huit semaines suivant l’accouchement, sauf si les critères suivants sont remplis : 

  • La salariée souhaite reprendre son travail au moins six semaines après l’accouchement
  • L’employée a un certificat médical attestant que la reprise du travail ne causera pas de problèmes médicaux

Plutôt que de se démener seul pour gérer les prestations sociales au Japon, il est préférable de travailler avec Horizons. Nous nous assurons que tous les employés reçoivent des prestations suffisantes et que votre entreprise reste conforme à la législation du travail japonaise. 

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